Comment passe-t-on d’insultes dans des commentaires adressés au gnard nanti d’un filousophe et d’une demi-cocotte couineuse, gratouilleuse de guitare, à la chambre à gaz et à Dieudonné ? Mystère de la philosophie d’état, subventionnée, et des méditations normaliennes d’un spécialiste Rance-Culture du charlisme. L’étude de la logique a dû être abandonnée dans le cursus de philosophie. Trop difficile à l’heure où il suffit de dégoiser quelques pots de pathos pour que l’on vous tende un micro.
Le rejeton croit pouvoir dispenser ses leçons de prêt à penser à internet (il a fait « le travail » pour les internautes, qui se demandent encore quels sont les racistes qu’il est allé rencontrer) et se fait étriller. Rien de bien neuf dans l’histoire. Qu’un morveux binoclard, coiffé en balayette, du haut de ses quelques printemps, épais comme une planche à pizza et qui n’a jamais dû suer pour gagner quelques ronds se permette de s’ériger en grande conscience mérite bien correction. J’ai plus d’estime pour un adolescent du même âge qui apprend un métier en alternance et en sait long, pratiquement, sur la vie.
Quant aux adresse IP, passez par des proxys. Ou mieux, désertez les « réseaux sociaux » fréquentés par ce ramassis narcissique de germano-pratins. Ah ! j’oubliais, censeurs qui nous lisez. Allez tous vous faire foutre.
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